Bach, musique de salon ? Sans qu’il n’ait jamais vraiment cessé d’être joué, le siècle romantique lui a voué un nouvel engouement. La résurrection du clavecin n’en étant encore qu’à ses balbutiements, tout l’œuvre pour claviers du Cantor renaît en cette fin dix-neuvième sur les pianos mythiques des maisons Érard et Pleyel. Laurent Cabasso, qui …
