Il fut une époque où nos aînés pianistes avaient l’habitude, lors d’un concert et en guise de préambule, de « titiller » le piano, c’est-à-dire de « jeter » quelques arpèges, quelques accords, une esquisse dans la tonalité à venir – comme une manière de conjurer le sort en amont, de rompre la glace… …
