On sonne à la porte. c’est Matthieu Stefanelli. Nous nous rencontrons pour la première fois et je reconnais son sourire bon enfant, celui qu’il arbore sur la pochette de son dernier disque Chroma. Nous nous installons autour d’un thé. Dehors, la morne grisaille d’un après-midi de décembre me devient vite indifférente. La discussion prend rapidement …
